Le Sketchnoting, kezako ?
Dans le monde de la pensée visuelle, on constate un intérêt croissant autour de la facilitation graphique. Cette pratique vise à utiliser le dessin et des modèles graphiques pour favoriser les échanges et les réflexions au sein d’un groupe, lui permettant de construire une vision commune (source: http://www.facilitationgraphique.com).
Le « Sketchnote » ou « Croquinote » en français, consiste aussi à traduire en pensée visuelle des concepts, processus, idées, conversations, mais individuellement et comme technique de prise de note. Les origines du Sketchnote remontent aux fameux carnets de note de Leonardo Da Vinci. Selon différents auteurs, prendre des notes de cette façon subjective facilite la mémorisation, l’assimilation et la compréhension.
Traduire visuellement ses notes nous force ainsi à reformuler, à simplifier et à clarifier, faisant usage à la fois de notre créativité et de notre capacité de synthèse.
Les notes obtenues sont aussi plus agréables et faciles à relire, plus exploitables que des notes griffonnées, trop complexes et illisibles.
« The Sketchnote Handbook. Rédigé par Mike Rohde, il a été publié en 2012.
Basée sur l’expérience et la pédagogie de Mike Rohde, cette publication fort bien illustrée est bourrée de trucs et astuces, d’exercices et d’exemples.
A n’en pas douter, ce livre va se convertir en une référence incontournable.